
HISTOIRE
DAR DHIAFA a l’âme d’une maison d’hôte, mais c’est un hôtel, avec ses 16 chambres qui respirent le calme et l’élégance du temps.
Cinq maisons (Houchs pour les Djerbiens) assemblées forment DAR DHIAFA, dans une rénovation qui a su préserver leur singularité tout en accordant une harmonie parfaite entre espaces privés et communs.
Ici, tout s’enchaîne naturellement, sans jamais donner l’impression d’un hôtel, mais d’une maison qui a toujours existé, avec ses deux piscines, ses salons feutrés, ses patios baignés de lumière, ses couleurs douces, sa cheminée, sa réception discrète et son hall accueillant.
Chaque espace trouve sa place, dans une continuité évidente, comme si le temps et les murs avaient toujours su cohabiter.
Son restaurant à la carte célèbre les saveurs de la Tunisie et de la Méditerranée, dans une cuisine sincère et enracinée. Son bar propose des cocktails signatures, inspirés des parfums de l’île, entre épices, agrumes et fraîcheur marine.
DAR DHIAFA est au cœur de Djerba, dans le village juif de HARA SGHIRA, à deux pas de la synagogue et accueil le musée à ciel ouvert de Djerbahood.
Plus qu’un hôtel, c’est un point de départ pour une immersion dans l’âme djerbienne, un carrefour entre le passé et le présent, entre l’art, l’histoire et la douceur de vivre.
Les propriétaires sont tombés sous le charme de Hara Sghira en 1996. La blancheur du village, ses patios secrets, la lumière suspendue dans ses chambres silencieuses, la sérénité de ses ruelles et l’accueil des Djerbiens les ont happés.
Dar Dhiafa est né de cet amour.
Cinq maisons traditionnelles reliées par des passages discrets, des couloirs, des arches, des enfilades de pièces qui forment un tout cohérent, comme un vieux manuscrit dont chaque page mène à une autre.
La première maison, achetée en 1996, a nécessité quatre années de restauration, respectueuse et minutieuse, avant d’ouvrir ses portes en mai 2000. Rien n’a été effacé : les plafonds d’origine, les portes centenaires, les décors muraux empreints du passage du temps sont encore là, témoins silencieux d’une époque préservée.
Dar Dhiafa n’a pas d’âge, mais il a une âme. Chaque jour, la lumière y redessine des histoires, chaque objet, chaque tableau murmure une mémoire. On s’y perd, on s’y retrouve. Et dans les yeux émerveillés de ses visiteurs, il continue de vivre, de vibrer, de grandir sans jamais se trahir.